Carnets du Business

Qui sommes-nous?  24/07/2018

Créés en 2009, Les Carnets du Business proposent aux acteurs du monde de l’entreprise l’essentiel de l’information à retenir dans les domaines du management, de la politique économique et des affaires internationales.
 
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1.Posté par Thierry Strub le 08/01/2023 10:37
Madame, monsieur,
L’intrication biologique est démontrée par deux expériences hautement significa-tives statistiquement (voir texte ci-joint) .
Contrairement à l’intrication physique, qui a été récompensé par un prix Nobel Alain Aspect en octobre dernier, où les applications sont rare, en biologie elles seraient nombreuses.
Avec l’expérimentation NSB3, toute l’infectiologie sera concernée : Il sera alors possible d’arrêter toutes épidémies à virus ARN, le Covid en l’occurrence, en peu de temps et sur toute la planète. C’est le pouvoir de la non-séparabilité bio-logique. Lisez ce texte ci-joint pour pouvoir y croire !
Covid : "7.000 milliards de dollars à l'économie mondiale"
L'irrationalité de la notion d’action à distance a attiré les foudres sur Newton au 17ème siècle, et sur l’expérimentation de 1996 par le Pr Barré-Sinoussi (voir texte ci-joint).
Ce n’est pas un nouveau médicament mais une un « savoir-faire » une « action à distance » qui doit être breveté.
Par ailleurs un professeur de l'Institut Pasteur de Paris dispose du protocole NSB3, il aura pour mission d’établir sur un devis ce protocole.
Lisez ce projet de livre il est résolument scientifique, mais une touche un peu personnel (importance de la pensée de Sri Aurobindo) qui accompagne ce con-texte de découverte. Il sort très nettement de l’ordinaire.
Ce texte soit édité aura comme objectif principal d’inciter un investisseur à réali-ser NSB3.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression mes salutations distinguées
Thierry Strub, médecin retraité, Président du Comité Troisié, Comité qui a finan-cer NSB2 tel : 06 38 73 56 12



2.Posté par Thierry Strub le 12/12/2023 13:41
Présentation du livre l’« Intrication biologique circonstances de découverte » Ed Baudelaire 2023
Grace à des épidémies simultanées paradoxales , je suis sorti de la caverne …de Platon. Aristote lui nous dit « l’étonnement est à l'origine de notre désir de connaissance.» J’ai ressenti cette féérie naturelle, cet extraordinaire moment, sur la plage d’Auroville en juillet 1981 avec une émotion intense qui m’a indiqué le chemin . J’étais la plage. La réalité est devenue brusquement « inintelligible » face à un monde sensiblement plus étrange , plus étonnant. Je vois, à présent, constamment la fabuleuse beauté de la nature, bien loin de la raison. Nous devons sortir du réalisme naïf, de cette caverne, de ce réel voilé.
L’organisation du monde me semble à présent et à ce moment-là, totalement magique et irrationnelle.
A présent, je montre dans ce livre que l’action à distance est manifeste, et que l’instantanéité des processus évolutifs est clairement devinée. Je propose, étant médecin, d’intégrer ce constat à une démarche thérapeutique (expérience dite NSB3). J’ai compris que pour arriver à ce spectacle fabuleux que je qualifie de « supranaturel » et non de surnaturel, on ne peut plus évoluer chacun dans son coin.
L’adaptation est si exceptionnellement pertinente, si subtilement coordonnée doit être « non-locale ». L’adaptation n’est plus euclidienne. C’est hors de l’espace-temps que le vivant évolue. Cette négation de la localité est apriori aussi impensable que le fut l’idée d’évolution avant Darwin.
Dans Matrix, Néo se dégage de la « matrice », ici de la caverne et vois alors un tout autre monde. Dans ce film, l’affirmation péremptoire du triste « mérovingien » ? il dit que la causalité est totalement obligatoire « action .. réaction, cause.. effet… » . J’ai pris la pilule rouge !
Le supramental permet de sortir de cette causalité par trop hégémonique. L’observation est alors bien plus vaste que cette petite causalité. La physique quantique qui explique le monde naturel et surtout le vivant, nous fait passer de la causalité à la corrélation.
Il s’agit de relier la physique quantique à l’évolution des espèces. Cette notion est déjà présente avec le « darwinisme quantique ». Cette approche tente de comprendre l’intérêt évolutif de la fameuse « réduction de la fonction d’onde » (Ψ, psi). « Le darwinisme quantique considère que la sélection d'un état quantique parmi tous les états possibles, (ou la sélection d’un résultat de mesure parmi tous les résultats possibles), résulte de l'interaction de la particule (plus généralement, du système quantique) avec son environnement, qui sélectionne le plus « apte », celui qui génère après l'interaction, le plus grand nombre de copies de lui-même ».
Ainsi toute l’évolution, de la mutation à la sélection seraient totalement quantique !
Attention de ne pas substituer le plus apte par le plus fort, cela serait très dangereux, « le darwinisme est la seule philosophie qui valorise et donc encourage le conflit » , nous dit justement Hervé Le Guyader. Raison de plus pour garder mon interprétation de mes 12 ans : ceux qui passent sont des opportunistes irréguliers (note 19).
J’ai proposé une réinterprétation de toute la génétique dans ma thèse de médecine en 1986 (ce qui fut alors très difficile à admettre) puis j’ai développé ce point de vue original dans mes travaux de recherche au CRSSA 1987-88 et à l’IPP 1995-96 (toujours très difficile à accepter).
La non-séparabilité doit impérativement intégrer tous les processus évolutifs. AFN-S ci-joint
La non-localité apporte à la pensée évolutive (et non une théorie) une plus grande complétude : le darwinisme (comme le lamarckisme) donne la dimension verticale avec la descendance, la non-séparabilité offre celle horizontale avec l’ancêtre commun, C’est la base conceptuelle de cette proposition NSB, la non-séparabilité biologique , elle est profondément irrationnelle. On ne plus tout expliquer, explications on entend les « notions ou les idées sur un sujet précis » .
Mon premier travail, NSB1 et NSB2 a consisté à montrer que l’augmentation de vitesse d’infection d’un virus, dû à l’adaptation, se transférait à distance, à un autre virus, dans un autre lieu, dont l’ancêtre est commun.
Ainsi pour montrer l’extraordinaire pouvoir de la non-séparabilité, il suffit de développer quantitativement, sur mode exponentiel, un variant viral défectif incomplet in vitro pour que in vivo le virus disparaisse partout (sur toute la planète) et quasi immédiatement, où ces conditions artificielles sont absentes. Il faut trouver une « astuce » où des conditions de développement in vitro et environnementales seraient radicalement différentes, seul un (très) bon virologue peut imaginer cette astuce.
Ainsi la réussite de NSB3 sera le constat d’une séronégativité du « cobaye » dont le virus était jusque-là « indétectable ». En revanche, il faut pratiquer un « saut thérapeutique » c’est-à-dire interrompre son traitement anti-VIH, le temps pour des particules virales d’émerger et d’avoir l’espoir de trouver, en leur sein, un défectif incomplet adéquat.
Ce serait la réussite du premier traitement « à distance », que la non-séparabilité biologique sera (enfin) démontrées.
Ainsi les pouvoirs de la particule (physique quantique) ont, comme celle de l’atome (physique classique), avec l’horrible bombe, vont fournir une démonstration tout aussi spectaculaire, pour la particule mais pour la pensée pas pour les yeux !
En effet, la non-localité assure le partage des avantages de la séquence nucléotidique au sein du phylum, où le mieux est en accord avec une vision darwinienne. Une phylogénie moléculaire, je le répète, l’évolution est « verticale » sur un principe de parenté, et « horizontale », avec le principe de non-localité le complète. Ainsi un avantage localisé à un individu et à une séquence génomique donnée va se disperser dans tout le phylum selon l’origine commune. Là se trouve le nouveau processus évolutif des espèces.
Nous retrouvons le caractère exponentiel du processus déclencheur de la non-séparabilité observé en épidémiologie. C’est le principe évolutif de base de la NSB . Il y a « transmission non-locale des caractères acquis ». Cette transmission assure, je le répète à dessin, un partage de l’innovation au sein du phylum. Notons que l’action à distance dispense de l’emploi d’un médicament, on agit directement sur les gènes en parfait accord avec de nouveaux principes évolutifs. Il faudrait définir un autre terme que celui de « thérapeutique ».
Ainsi le processus évolutif des espèces sort de l’espace euclidien, il n’y a plus ni temps (instantanéité) ni espace (action à distance).
C’est qu’après « l’expérience » de la plage 1981, mes yeux voyaient le monde totalement différemment (comme Néo ), mais ce n’est que plus tard, en 1984 que les faits m’ont permis de formuler la proposition NSB.
Sri Aurobindo propose le même combat : dire de cette causalité est un acte optionnel . La phénoménologie apparait alors comme la réalité du supramentale , le seul moyen de se dégager d’une causalité naïve. Bref on n’explique pas, mais on décrit tout simplement. On utilise alors que l’observation des phénomènes épidémiques pour guider notre outil thérapeutique.
Le monde est d’une telle complexité qu’elle dépasse et dépassera toujours, et très largement, toutes explications données à la naissance de l’Univers à l’origine du Vivant. Le supramental ignore les causes, à dessin, bien sûr celles qui sont impossible à définir. Il faut « faire comme la Nature », une Nature alors vénérée. Prenons conscience, une fois pour toutes, que l’on ne pourra jamais expliquer l’intrication, nous essayons d’exploiter ses effets, c’est une stratégie adaptative d'imitation . L’intrication est si fabuleuse mais l’on doit s’arrêter à son constat, mais il doit être très précis. Mais la physique quantique n’arrive pas à résoudre le fait que le passé reste indéterminé. Cette notion est encore plus difficile à accepter que la non-séparabilité, elle utilise la pluralité des avenirs possibles pour choisir le plus apte. Cette notion fut proposé par le philosophe-physicien Hervé Zwirn (ENS Paris Saclay & IHPST) « L’ordre temporel entre divers événements n’est peut-être pas toujours défini à très petite échelle. Dans The Conversation, l’experte en philosophie de la physique Laurie Letertre explique comment cela remettrait en cause la notion de causalité.» La non-localité du vivant est la seule explication nécessaire à l’évolution fabuleuse du vivant et surtout à l’émergence prodigieuse de l’homme .
L’objectif de l’expérimentation NSB3 doit être réalisée.
En conclusion : l’évolution du vivant suit le principe darwinien mais avec les propriétés étonnantes de la non-séparabilité biologique. Tout le vivant est, depuis le début et pour toujours « unis vers l’uni ».

Arguments en faveur de la non-séparabilité AFN-S

1. La mutation est liée à l’effet tunnel qui exprime sa non-localité.
2. Les épidémies paradoxalement simultanées la démontre.
3. L’ordre de l’univers est trop parfait , « « La non-localité est l’une des prédictions les plus puissantes et omniprésentes de la physique quantique » , affirme Flaminia Giacomini ,


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