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Corporate management
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Un coup de pouce pour tous qui coute aux finances publiques. « Si l'inflation a encore battu un nouveau record en août pour la zone euro, avec une hausse des prix moyens de 9,1% sur un an, la France est le pays qui s'en tire le mieux, avec malgré tout un bond de 6,5%. Une bonne nouvelle qui a toutefois un coût. Selon Bercy, le bouclier énergie a déjà coûté 24 milliards d'euros environ depuis sa mise en place il y a un an. Un chiffre qui représente 1% du PIB national et qui devrait encore augmenter » explique Le Figaro .
Uniquement pour le plafonnement des tarifs réglementés, le budget de l’État a été mis à contribution à hauteur de 10,5 milliards d’euros. Une implication qui devrait s’accentuer dans les prochains mois puisque l’exécutif a promis d’empêcher les hausses trop importantes des prix. « En deuxième position viennent les aides carburants, et notamment les remises à la pompe : évaluées, pour le moment à 7,5 milliards d'euros. Là aussi le total devrait largement grossir. Le coup de pouce vient juste d'être grandement renforcé au 1er septembre pour passer à 30 centimes , contre 18 jusqu'alors. Ce montant va être maintenu deux mois (septembre et octobre), avant de passer à 10 centimes en novembre et décembre. Une mesure chère et contestée car elle arrive un peu à contretemps. Le prix de l'essence connaît en effet une décrue depuis plusieurs semaines après avoir dépassé les deux euros le litre en juin » relève le quotidien.
Enfin, 6 milliards d’euros ont été dédiés pour le gel des tarifs réglementés du gaz au niveau d’octobre 2021. A toutes ces dépenses, on pourrait ajouter celles qui pèsent indirectement sur l’Etat par l’intermédiaire de EDF, précise l’article du « Figaro » : « le bouclier énergétique a aussi coûté 8 milliards d'euros à EDF dans le cadre de l'Arenh (selon les estimations de l'entreprise) . Une somme qui ne sort certes pas des poches de l'État, mais a un coût indirect néanmoins car l'État reste le premier et bientôt le seul actionnaire du groupe. »
Uniquement pour le plafonnement des tarifs réglementés, le budget de l’État a été mis à contribution à hauteur de 10,5 milliards d’euros. Une implication qui devrait s’accentuer dans les prochains mois puisque l’exécutif a promis d’empêcher les hausses trop importantes des prix. « En deuxième position viennent les aides carburants, et notamment les remises à la pompe : évaluées, pour le moment à 7,5 milliards d'euros. Là aussi le total devrait largement grossir. Le coup de pouce vient juste d'être grandement renforcé au 1er septembre pour passer à 30 centimes , contre 18 jusqu'alors. Ce montant va être maintenu deux mois (septembre et octobre), avant de passer à 10 centimes en novembre et décembre. Une mesure chère et contestée car elle arrive un peu à contretemps. Le prix de l'essence connaît en effet une décrue depuis plusieurs semaines après avoir dépassé les deux euros le litre en juin » relève le quotidien.
Enfin, 6 milliards d’euros ont été dédiés pour le gel des tarifs réglementés du gaz au niveau d’octobre 2021. A toutes ces dépenses, on pourrait ajouter celles qui pèsent indirectement sur l’Etat par l’intermédiaire de EDF, précise l’article du « Figaro » : « le bouclier énergétique a aussi coûté 8 milliards d'euros à EDF dans le cadre de l'Arenh (selon les estimations de l'entreprise) . Une somme qui ne sort certes pas des poches de l'État, mais a un coût indirect néanmoins car l'État reste le premier et bientôt le seul actionnaire du groupe. »
