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Corporate management
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Il y a ceux qui ne partaient pas et ne partiront pas plus. Ceux qui partaient et qui ne partiront pas. Mais ceux qui vont continuer à partir, eux, ont prévu de dépenser plus que les années précédentes. C’est ce que nous apprend un sondage réalisé par CSA Research commandé par Cofdidis.
« Par rapport à l'été dernier, le budget moyen des 60% de Français ayant l'intention de partir - en recul de trois points par rapport à 2022 - bondit de plus de 20%, passant de 1641 à 1986 euros. Celui-ci «fluctue entre générations», souligne toutefois Cofidis, puisqu'il s'élève par exemple à 1689 euros pour les 18-24 ans contre 2204 euros pour les 50 ans et plus. Parallèlement, même si le budget prévu augmente, les restrictions aussi. Ils sont sept vacanciers sur dix (71%) à avoir le sentiment de devoir se restreindre dans leur budget vacances cet été, soit 7 points de plus que l'an dernier. L'inflation, qui touche le budget courant, est naturellement sur le banc des premiers accusés (58%). Néanmoins, d'autres raisons sont aussi évoquées, comme des projets de dépenses importantes pour les mois à venir (15%), des imprévus financiers au cours des derniers mois (9%) ou des projets de vacances initiaux coûtant trop cher (9%) », rapporte Le Figaro.
Les durées de vacances et lieux ne seront pas sacrifiés contrairement aux souvenirs, sorties ou dépenses une fois en vacances, affirment les personnes sondées. « Pour financer leurs vacances, piocher dans son budget courant est la solution privilégiée par les Français (43%). Nombreux sont ceux à ne pas hésiter à puiser dans leur épargne personnelle (37%), par exemple dans leur livret A ou leur plan d'épargne entreprise. Encore une preuve de la place prépondérante des vacances dans la vie des Français », ajoute le quotidien.
« Par rapport à l'été dernier, le budget moyen des 60% de Français ayant l'intention de partir - en recul de trois points par rapport à 2022 - bondit de plus de 20%, passant de 1641 à 1986 euros. Celui-ci «fluctue entre générations», souligne toutefois Cofidis, puisqu'il s'élève par exemple à 1689 euros pour les 18-24 ans contre 2204 euros pour les 50 ans et plus. Parallèlement, même si le budget prévu augmente, les restrictions aussi. Ils sont sept vacanciers sur dix (71%) à avoir le sentiment de devoir se restreindre dans leur budget vacances cet été, soit 7 points de plus que l'an dernier. L'inflation, qui touche le budget courant, est naturellement sur le banc des premiers accusés (58%). Néanmoins, d'autres raisons sont aussi évoquées, comme des projets de dépenses importantes pour les mois à venir (15%), des imprévus financiers au cours des derniers mois (9%) ou des projets de vacances initiaux coûtant trop cher (9%) », rapporte Le Figaro.
Les durées de vacances et lieux ne seront pas sacrifiés contrairement aux souvenirs, sorties ou dépenses une fois en vacances, affirment les personnes sondées. « Pour financer leurs vacances, piocher dans son budget courant est la solution privilégiée par les Français (43%). Nombreux sont ceux à ne pas hésiter à puiser dans leur épargne personnelle (37%), par exemple dans leur livret A ou leur plan d'épargne entreprise. Encore une preuve de la place prépondérante des vacances dans la vie des Français », ajoute le quotidien.
