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Loi du travail : CGT et gouvernement ne parviennent pas à trouver un accord




Jeudi 26 Mai 2016


La France est menacée de véritable arrêt des activités à cause des manifestations qui se déroulent dans tout le pays, pourtant ni le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, ni le Premier ministre Manuel Valls n'ont intérêt à trouver un compromis.



Source : Pixabay, image libre de droits.
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Un article en ligne du journal Le Point explique que « le mercredi 25 mai 2016 aurait pu être une belle journée de printemps couronnée par une bonne nouvelle : les chiffres du chômage sont en baisse pour le deuxième mois consécutif. »

Pourtant il ajoute que « ce fut au contraire le jour de tous les raidissements. Le Premier ministre Manuel Valls, à l'Assemblée nationale, a fustigé une minorité qui prend les Français en otages, tandis que le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, qui n'en est plus à une outrance près, lui retournait le compliment. Pendant ce temps, les cuves se vident dans les stations-service et les trains roulent au ralenti. »
 

La loi du travail maintenue

L’article souligne que « Manuel Valls a redit sa détermination à mettre en œuvre la loi travail », puisque ce dernier a assuré : « Je ne suis pas dans une confrontation personnelle avec la CGT. C'est la CGT qui a décidé, notamment lors de son dernier congrès, de se lancer dans un processus de radicalisation qui peut conduire à la violence. Je le regrette. »

L’article précise que « tout comme Philippe Martinez, Manuel Valls est contraint d'adopter une attitude maximaliste », ajoutant qu’il « mène désormais un combat comme il les aime, sans merci. Soit il mate la rébellion, et il devient le premier vainqueur de ce bras de fer, bien plus que le chef de l'État, mutique en son palais. Soit l'Élysée le contraint de retirer la loi travail et il ne pourra l'accepter : il démissionnera et retrouvera sa liberté. »

Quant à Philippe Martinez, il « ne veut pas rester dans l'histoire du mouvement ouvrier comme le fossoyeur de la CGT. Or, son syndicat a perdu des dizaines de milliers d'adhérents après les révélations sur le train de vie mené par son prédécesseur Thierry Lepaon. »

Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
 

Sébastien Arnaud




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