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Chômage et dette : le FMI demande à La France des efforts




Lundi 23 Mai 2016


Le FMI, institution internationale dirigée par Christine Lagarde s'alarme du chômage et de la dette de la France.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Point explique que « l'économie française se redresse, mais il reste beaucoup à faire pour stimuler la création d'emplois et assainir les finances publiques », ajoutant que c’est là le constat « de l'institution internationale sur l'économie française au terme de sa mission d'évaluation annuelle. »

L’article précise que « le Fonds dirigé par l'ancienne ministre française de l'Économie sous Nicolas Sarkozy Christine Lagarde décerne pourtant bien volontiers quelques bons points à la politique économique de François Hollande. »

En plein blocage des raffineries contre la loi El Khomri, « les experts du FMI n'hésitent pas à voir dans cette réforme « une autre étape nécessaire vers un marché du travail plus dynamique. »
 

Des mesures à adopter

Selon ces mêmes experts, cette réforme El Khomri « pourrait accroître les possibilités de conclure des conventions collectives au niveau des entreprises et de réduire davantage l'incertitude judiciaire en matière de licenciement ».

Autant de mesures qui « devraient encourager l'embauche dans le cadre de contrats à durée indéterminée et améliorer la dynamique du marché de l'emploi tandis que la reprise s'accélère ».

L’article du Point explique que « les experts saluent également les baisses de charges et d'impôts pour les entreprises grâce au CICE et au pacte de responsabilité », tout en appelant « l'exécutif et le prochain président de la République à aller beaucoup plus loin. »

D’abord au niveau budgétaire car « malgré le plan de 50 milliards d'économies, le FMI estime que François Hollande n'en fait pas assez pour contrôler les dépenses publiques. » Les experts assurent : « Cette stratégie reposait largement sur le plafonnement de la croissance des dépenses nominales, ce qui n'a pas engendré les économies réelles espérées du fait d'une inflation et d'une croissance qui se sont révélées inférieures aux prévisions. »

Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
 

Joseph Martin




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