La consommation des ménages a donné un coup de fouet à l’économie française. Le Boston Consulting Group estime même que la France était le pays où le rebond économique le plus fort avait été enregistré.

Une étude de l’assureur Euler Hermes estime que les défaillances d’entreprises vont bondir d’ici 2021. Les estimations fluctuent d’augmentation fluctuent de +25% pour la France à +57% aux États-Unis avec une moyenne planétaire de +35%.

Le baromètre EY des investissements étrangers de 2019 place la France devant le Royaume-Uni et l’Allemagne. Un indice encourageant mais qui semble parler d’une autre époque tant les dernières semaines ont été hors du temps.

Ce que l’on retient surtout des consignes de déconfinement données aux entreprises c’est que ceux qui ont réussi à travailler à distance ces dernières semaines ont tout intérêt à continuer. En refusant d’admettre que la reprise représente forcément une prise de risque, le gouvernement s’assure d’un nouvel échec politique.

Alors que la plupart des pays assurent qu’ils vont chercher à gagner en indépendance et plus produire sur leur territoire, l’OMC encourage à faire le bilan sur l’explosion du commerce électronique et à signer un Accord pour faciliter les échanges internationaux.

D’après des analystes, la baisse de l’action en bourse de Disney pourrait encourager Apple à acquérir la société. Illustration des chamboulement économiques qui pourraient avoir lieu en cette période de crise économique.

Avec 600 millions d’euros de pertes annoncées pour la SNCF et 100 millions d’euros pour la RATP, les pertes se poursuivent avec la grève. D’autant que l’annonce du remboursement des usagers de la RATP n’a pas encore été comptabilisée.

Depuis le 1er janvier 2020 le régime social des indépendants (RSI) a été intégré au régime général. Sans que l’on puisse évaluer les conséquences pour les indépendants dans les prochains mois, personne ne regrettera le RSI.

Mercredi 4 décembre le Conseil constitutionnel a annoncé que la barre du million de signatures a été franchie pour demander l’organisation d’un référendum d’initiative partagée (RIP). L’opposition demande à ce que le seuil légal des 10% de l’électorat soit abaissé.