Grève du 10 septembre : transports et chaînes logistiques sous tension
Les prévisions de trafic font état de perturbations massives dans les transports franciliens et régionaux. Les RER, Transilien et lignes de banlieue exploités par la SNCF seront réduits, tandis que des interruptions sont également possibles sur le réseau RATP (métros, tramways, bus). Des syndicats du secteur aérien annoncent en outre des mouvements sociaux dans les aéroports, pouvant affecter les vols intérieurs et internationaux.
Ces difficultés de mobilité pèseront sur la présence des collaborateurs sur site, mais aussi sur les livraisons et approvisionnements. La grève du 10 septembre s’étend également aux dépôts pétroliers et aux raffineries, avec un risque de ralentissement dans la distribution de carburant. L’ensemble de ces blocages place la chaîne logistique dans une situation fragile, susceptible de générer des retards et une désorganisation temporaire.
Ces difficultés de mobilité pèseront sur la présence des collaborateurs sur site, mais aussi sur les livraisons et approvisionnements. La grève du 10 septembre s’étend également aux dépôts pétroliers et aux raffineries, avec un risque de ralentissement dans la distribution de carburant. L’ensemble de ces blocages place la chaîne logistique dans une situation fragile, susceptible de générer des retards et une désorganisation temporaire.
Les services essentiels perturbés
Au-delà des transports, d’autres secteurs clés seront touchés. L’éducation nationale connaît un appel à la grève large, pouvant entraîner des fermetures d’écoles et donc des absences accrues de salariés pour garde d’enfants. Dans la santé, les syndicats hospitaliers annoncent également leur participation, avec des conséquences sur la disponibilité des services non urgents. Les pharmacies se joignent au mouvement avec une grève des gardes, ce qui peut compliquer l’accès aux soins de proximité.
À ces arrêts s’ajoutent des mobilisations locales, notamment dans l’industrie et l’énergie, où des blocages ciblés sont envisagés. Le climat social autour du 10 septembre est ainsi marqué par une multiplication des foyers de contestation, rendant la visibilité limitée et l’anticipation difficile. La journée devrait donc peser sur l’activité en réduisant la fluidité des échanges et en accentuant l’incertitude opérationnelle.
À ces arrêts s’ajoutent des mobilisations locales, notamment dans l’industrie et l’énergie, où des blocages ciblés sont envisagés. Le climat social autour du 10 septembre est ainsi marqué par une multiplication des foyers de contestation, rendant la visibilité limitée et l’anticipation difficile. La journée devrait donc peser sur l’activité en réduisant la fluidité des échanges et en accentuant l’incertitude opérationnelle.