Éditorialistes & Contributeurs
Corporate management
Creative Commons - Pixabay
Primes pour les déplacements, augmentations, soutiens exceptionnels ou tickets repas, les employeurs ont une palette importante de mesures pour soutenir leurs salariés face à l’inflation. Depuis plusieurs mois tout coute plus cher, et des pans entiers de la société ne sont pas concernés par les aides publiques et la revalorisation du SMIC. « Poussée par la flambée des prix de l’énergie qui se répercute désormais sur celui des biens de consommation, la hausse de l’indice des prix à la consommation s’est établie à 4,5% en mars sur un an. Cette inflation, durable et élevée, enregistrée depuis novembre va en conséquence impliquer une augmentation du smic de 2,65% au 1er mai, après déjà une revalorisation automatique de 0,9% en janvier et de 2,2% en octobre. Dans le cadre de la Présidentielle, Emmanuel Macron promet également de revaloriser dès juillet de 4 % les pensions de retraite. Enfin s’il est réélu le 24 avril… » avance Le Figaro.
Malgré toutes les aides publiques, le pouvoir d’achat prend un coup, et la consommation aussi puisque l’inquiétude est de mise face à une augmentation générale des coûts du quotidien. Et l’intervention des entreprises pour leurs salariés est donc particulièrement attendue. « D’autant plus que tous les salariés payés au-dessus du smic ne seront pas concernés par la revalorisation du salaire minimum et que les négociations annuelles obligatoires (NAO) en début d’année n’ont pas anticipé cette envolée folle des prix. Les 3,2 % de hausse consentie par les employeurs en moyenne pour cette année ne couvriront pas la hausse des prix qui, mois après mois, ne cesse d’être relevée. Entre l’augmentation du smic, une possible revalorisation des pensions de retraite ainsi que des minima sociaux à l’été et la pression mise par le gouvernement sur les négociations des minima de branche, tous les regards sont désormais braqués sur les entreprises. Où les syndicats poussent déjà pour obtenir des augmentations de salaires pour compenser la perte certaine de pouvoir d’achat des salariés… » continue le quotidien qui liste plusieurs exemples d’initiatives prises par des entreprises.
Malgré toutes les aides publiques, le pouvoir d’achat prend un coup, et la consommation aussi puisque l’inquiétude est de mise face à une augmentation générale des coûts du quotidien. Et l’intervention des entreprises pour leurs salariés est donc particulièrement attendue. « D’autant plus que tous les salariés payés au-dessus du smic ne seront pas concernés par la revalorisation du salaire minimum et que les négociations annuelles obligatoires (NAO) en début d’année n’ont pas anticipé cette envolée folle des prix. Les 3,2 % de hausse consentie par les employeurs en moyenne pour cette année ne couvriront pas la hausse des prix qui, mois après mois, ne cesse d’être relevée. Entre l’augmentation du smic, une possible revalorisation des pensions de retraite ainsi que des minima sociaux à l’été et la pression mise par le gouvernement sur les négociations des minima de branche, tous les regards sont désormais braqués sur les entreprises. Où les syndicats poussent déjà pour obtenir des augmentations de salaires pour compenser la perte certaine de pouvoir d’achat des salariés… » continue le quotidien qui liste plusieurs exemples d’initiatives prises par des entreprises.
