D’une semaine à l’autre, voire d’un jour à l’autre c’est un tout autre montant qui va être déboursé pour un plein. « Les tarifs à la pompe poursuivent en effet leur spectaculaire envolée, entamée début juillet, d'après les calculs de Fig Data effectués à partir des données publiques du ministère de la Transition énergétique. Une mauvaise nouvelle qui survient au moment des retours de vacances et des grands chassés-croisés de l’été. Et qui n’épargne aucun carburant », note Le Figaro.
« C’est néanmoins le gazole qui demeure le plus affecté. Un litre revient ainsi en moyenne à 1,8759 euro, soit 0,2 centime supplémentaire par rapport à la semaine dernière. Du jamais-vu en six mois. L’essence suit une tendance assez similaire, quoique légèrement moins accentuée cet été. Le prix du SP-98 a toutefois franchi la barre des deux euros (2,009) alors que le SP-95 (1,9627 euro) et l’E10 (1,9436 euro) s’en rapprochent. Tous trois battent leur «record» pour cette période estivale. Sur l’ensemble de l’année 2023, le SP-98 s’est renchéri de 5,7%, le SP-95 de 6,2% et l’E10 de 7,2%. À l’inverse, le tarif du gazole a baissé de 1,8%, passant du statut de carburant le plus onéreux au 1er janvier à celui de plus avantageux à l’heure actuelle, malgré les récentes augmentations », continue le quotidien.
Le plafond à 1,99 euro le litre par TotalEnergies est encore d’actualité. Mais après des mois de yoyo à la pompe, les consommateurs commencent à fatiguer de l’instabilité chronique que les autorités décrivent comme devant se poursuivre dans les prochaines semaines : « Cette augmentation est liée à celle des prix du pétrole. Le baril de Brent a en effet également vu son tarif flamber au mois de juillet (+13,7%). La faute à la réduction de la production saoudienne qui sera prolongée au moins jusqu’en septembre. Cette politique pourrait se poursuivre bien au-delà de la rentrée, et même être «renforcée», a annoncé le ministère saoudien de l'Énergie. Pas de quoi rassurer les conducteurs tricolores... Même si l’or noir ne progresse plus et s’établissait jeudi à 82,99 dollars. »
« C’est néanmoins le gazole qui demeure le plus affecté. Un litre revient ainsi en moyenne à 1,8759 euro, soit 0,2 centime supplémentaire par rapport à la semaine dernière. Du jamais-vu en six mois. L’essence suit une tendance assez similaire, quoique légèrement moins accentuée cet été. Le prix du SP-98 a toutefois franchi la barre des deux euros (2,009) alors que le SP-95 (1,9627 euro) et l’E10 (1,9436 euro) s’en rapprochent. Tous trois battent leur «record» pour cette période estivale. Sur l’ensemble de l’année 2023, le SP-98 s’est renchéri de 5,7%, le SP-95 de 6,2% et l’E10 de 7,2%. À l’inverse, le tarif du gazole a baissé de 1,8%, passant du statut de carburant le plus onéreux au 1er janvier à celui de plus avantageux à l’heure actuelle, malgré les récentes augmentations », continue le quotidien.
Le plafond à 1,99 euro le litre par TotalEnergies est encore d’actualité. Mais après des mois de yoyo à la pompe, les consommateurs commencent à fatiguer de l’instabilité chronique que les autorités décrivent comme devant se poursuivre dans les prochaines semaines : « Cette augmentation est liée à celle des prix du pétrole. Le baril de Brent a en effet également vu son tarif flamber au mois de juillet (+13,7%). La faute à la réduction de la production saoudienne qui sera prolongée au moins jusqu’en septembre. Cette politique pourrait se poursuivre bien au-delà de la rentrée, et même être «renforcée», a annoncé le ministère saoudien de l'Énergie. Pas de quoi rassurer les conducteurs tricolores... Même si l’or noir ne progresse plus et s’établissait jeudi à 82,99 dollars. »