Ses ambitions déclarées, Elon Musk a donné quelques directions plus précises à de potentiels investisseurs. C’est le prestigieux New York Times qui révèle les grandes lignes d’un argumentaire transmis à une poignée de structures qui pourraient devenir actionnaire de Twitter. Dans ce document, le milliardaire qui s’est porté acquéreur pour la modique somme de 44 milliards de dollars d(ont 21 de sa poche) promet une rupture rapide et une rentabilité prochaine.
« Dans le rapport destiné aux investisseurs dévoilé par le New-York Times, on peut ainsi lire que Elon Musk a des ambitions vraiment démesurées concernant le réseau social. Actuellement, le réseau avait réalisé un bénéfice d'environ 5 milliards de dollars, contre 1,9 milliards en 2019. Selon ce rapport, Elon Musk prévoit d'augmenter drastiquement ce chiffre, avec des ventes annuelles de 26,4 milliards de dollars (24,98 milliards d'euros) d'ici 2028 et jusqu'à 9,4 milliards de dollars de flux de trésorerie. On est loin des promesses de non-rentabilité avancées plus tôt dans le mois d'avril par le milliardaire. La tâche paraît pharaonique, surtout quand on sait que le réseau social n'est pas spécialement connu pour son modèle de rentabilité. Entre 2015 et 2020, Twitter a réalisé beaucoup d'opération d'astreinte afin de limiter les pertes. Fermant plusieurs de ses filiales, dont Vine et licenciant plus de 1000 employés » relève le site spécialisé Hitek.
En annonçant de manière délibérément provocatrice sa prise en main du réseau social, Elon Musk a attiré l’attention du monde entier. Désormais il doit parler le même langage que les actionnaires, ce dont il est largement capable comme il l’a démontré avec Tesla ou SpaceX. « Nous savions déjà qu'il souhaitait rendre l’algorithme de Twitter libre afin que tous soient sûrs de ce qu'il se passe sur le réseau. Mais pour ce faire, il va être obligé de modifier la politique de 90% des revenus du site via la publicité. Dans le rapport, il explique vouloir passer à un rapport d'égalité entre abonnement et publicité, avec 45% / 45%. Peut-être ignorez-vous que Twitter dispose d'un service d'abonnement payant, nommé Twitter Blue, et c'est normal. Le service n'est actuellement pas disponible en France, mais uniquement aux États-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie » explique Hitek.
Par ailleurs, il promet d’augmenter considérablement la masse salariale du groupe. Un coup de poker qui vise à souligner sa confiance dans le modèle annoncé. Pour l’heure, l’opération Twitter toujours dans les cartons inquiète surtout les investisseurs Tesla. Eux aussi se souviennent de l’énergie dépensé par Elon Musk pour les rassurer et se sentent délaissés. L’action du groupe auto a enregistré une baisse de 10 points.
Lire ici en intégralité l’article du site Hitek
« Dans le rapport destiné aux investisseurs dévoilé par le New-York Times, on peut ainsi lire que Elon Musk a des ambitions vraiment démesurées concernant le réseau social. Actuellement, le réseau avait réalisé un bénéfice d'environ 5 milliards de dollars, contre 1,9 milliards en 2019. Selon ce rapport, Elon Musk prévoit d'augmenter drastiquement ce chiffre, avec des ventes annuelles de 26,4 milliards de dollars (24,98 milliards d'euros) d'ici 2028 et jusqu'à 9,4 milliards de dollars de flux de trésorerie. On est loin des promesses de non-rentabilité avancées plus tôt dans le mois d'avril par le milliardaire. La tâche paraît pharaonique, surtout quand on sait que le réseau social n'est pas spécialement connu pour son modèle de rentabilité. Entre 2015 et 2020, Twitter a réalisé beaucoup d'opération d'astreinte afin de limiter les pertes. Fermant plusieurs de ses filiales, dont Vine et licenciant plus de 1000 employés » relève le site spécialisé Hitek.
En annonçant de manière délibérément provocatrice sa prise en main du réseau social, Elon Musk a attiré l’attention du monde entier. Désormais il doit parler le même langage que les actionnaires, ce dont il est largement capable comme il l’a démontré avec Tesla ou SpaceX. « Nous savions déjà qu'il souhaitait rendre l’algorithme de Twitter libre afin que tous soient sûrs de ce qu'il se passe sur le réseau. Mais pour ce faire, il va être obligé de modifier la politique de 90% des revenus du site via la publicité. Dans le rapport, il explique vouloir passer à un rapport d'égalité entre abonnement et publicité, avec 45% / 45%. Peut-être ignorez-vous que Twitter dispose d'un service d'abonnement payant, nommé Twitter Blue, et c'est normal. Le service n'est actuellement pas disponible en France, mais uniquement aux États-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie » explique Hitek.
Par ailleurs, il promet d’augmenter considérablement la masse salariale du groupe. Un coup de poker qui vise à souligner sa confiance dans le modèle annoncé. Pour l’heure, l’opération Twitter toujours dans les cartons inquiète surtout les investisseurs Tesla. Eux aussi se souviennent de l’énergie dépensé par Elon Musk pour les rassurer et se sentent délaissés. L’action du groupe auto a enregistré une baisse de 10 points.
Lire ici en intégralité l’article du site Hitek