Un recalcul qui rebat les cartes du marché immobilier
Le changement majeur du nouveau DPE réside dans l’abaissement du coefficient appliqué à l’électricité, de 2,3 à 1,9. Ce simple ajustement administratif améliore mécaniquement l’étiquette de nombreux logements, sans qu’aucun travaux ne soit engagé. Les biens électriques, souvent pénalisés, deviennent plus attractifs, réduisant le risque réglementaire lié à l’interdiction progressive de louer les classes F et G.
Pour les investisseurs, c’est une nouvelle lecture des opportunités. Des marchés jusque-là jugés trop risqués en raison d’un parc dégradé retrouvent de la liquidité. En parallèle, l’immobilier locatif électrique gagne en compétitivité face au gaz et au fioul, ouvrant la voie à de nouvelles stratégies d’acquisition et de valorisation patrimoniale.
Pour les investisseurs, c’est une nouvelle lecture des opportunités. Des marchés jusque-là jugés trop risqués en raison d’un parc dégradé retrouvent de la liquidité. En parallèle, l’immobilier locatif électrique gagne en compétitivité face au gaz et au fioul, ouvrant la voie à de nouvelles stratégies d’acquisition et de valorisation patrimoniale.
Les gagnants et les perdants de la réforme énergétique
Les villes déjà engagées dans la rénovation énergétique, comme Saint-Laurent-du-Var ou Istres, confirment leur statut de zones attractives. Leur croissance démographique conjuguée à un parc immobilier performant attire capitaux et projets. À l’inverse, des communes franciliennes comme Malakoff ou Saint-Maur-des-Fossés, malgré une forte demande locative, voient leur attractivité fragilisée par un parc ancien et énergivore.
Pour les acteurs financiers, le DPE devient un critère d’investissement aussi déterminant que la fiscalité ou la rentabilité brute. Comme le souligne Maslow.immo, « la performance énergétique est désormais un indicateur central de valeur et de liquidité ». À terme, la pression sur les biens non conformes pourrait accroître la rareté des logements louables et faire grimper les loyers dans les zones tendues.
Pour les acteurs financiers, le DPE devient un critère d’investissement aussi déterminant que la fiscalité ou la rentabilité brute. Comme le souligne Maslow.immo, « la performance énergétique est désormais un indicateur central de valeur et de liquidité ». À terme, la pression sur les biens non conformes pourrait accroître la rareté des logements louables et faire grimper les loyers dans les zones tendues.