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L’automobile ne se porte pas bien du tout. Depuis que l’effet de rebond post confinement de 2020, le secteur mutliplie les signaux négatifs. « Le marché automobile français est resté orienté à la baisse en novembre (-3,21% sur un an), freiné par la pénurie de semi-conducteurs, selon des chiffres publiés mercredi par la Plateforme automobile (PFA). Les constructeurs ont immatriculé 121.995 voitures sur le mois, contre 126.047 en novembre 2020 et 172.731 en novembre 2019, avant la pandémie » avance Le Figaro.
Les responsables de la PFA expliquent ne pas avoir connu de mois de novembre aussi bas. Après la crise sanitaire, qui n’est pas terminée, les pénuries de semi-conducteurs continuent à pénaliser fortement le marché. Ce n’est pas une crise de la demande mais bien de l’offre qui a lieu avec des constructeurs qui mettent la priorité, en fonction de leurs capacités de production, sur les véhicules haut de gamme et électriques qui sont plus rentables. Les véhicules moins chers et qui font plus de volume de ventes baissent, ce qui implique logiquement des conséquences visibles sur l’ensemble des chiffres.
« Le leader Stellantis a vu ses ventes baisser de 30,50% par rapport aux onze premiers mois de 2019, avec 510.640 véhicules vendus. Sa part de marché recule légèrement à 34%, avec des mauvais scores pour ses marques Fiat et Opel notamment. Son concurrent Renault affiche une baisse de 28,21%, avec une part de marché en légère baisse également, à 23,7%, malgré de bonnes ventes chez Dacia. Le groupe Volkswagen résiste mieux avec des ventes à -20,52% et une part de marché en légère hausse à 13,46%. Toyota (6,20% de part de marché) et BMW (4,25%) limitent la casse, tandis que Hyundai-Kia est le seul groupe à voir ses ventes augmenter depuis 2019, avec 81.441 véhicules vendus et 5,43% de parts de marché » précise Le Figaro.
Pour 2021 bientôt achevée la Plateforme automobile table sur 1,7 million de véhicules vendus sur toute l’année en France. Soit légèrement mieux que l’an dernier.
Les responsables de la PFA expliquent ne pas avoir connu de mois de novembre aussi bas. Après la crise sanitaire, qui n’est pas terminée, les pénuries de semi-conducteurs continuent à pénaliser fortement le marché. Ce n’est pas une crise de la demande mais bien de l’offre qui a lieu avec des constructeurs qui mettent la priorité, en fonction de leurs capacités de production, sur les véhicules haut de gamme et électriques qui sont plus rentables. Les véhicules moins chers et qui font plus de volume de ventes baissent, ce qui implique logiquement des conséquences visibles sur l’ensemble des chiffres.
« Le leader Stellantis a vu ses ventes baisser de 30,50% par rapport aux onze premiers mois de 2019, avec 510.640 véhicules vendus. Sa part de marché recule légèrement à 34%, avec des mauvais scores pour ses marques Fiat et Opel notamment. Son concurrent Renault affiche une baisse de 28,21%, avec une part de marché en légère baisse également, à 23,7%, malgré de bonnes ventes chez Dacia. Le groupe Volkswagen résiste mieux avec des ventes à -20,52% et une part de marché en légère hausse à 13,46%. Toyota (6,20% de part de marché) et BMW (4,25%) limitent la casse, tandis que Hyundai-Kia est le seul groupe à voir ses ventes augmenter depuis 2019, avec 81.441 véhicules vendus et 5,43% de parts de marché » précise Le Figaro.
Pour 2021 bientôt achevée la Plateforme automobile table sur 1,7 million de véhicules vendus sur toute l’année en France. Soit légèrement mieux que l’an dernier.
