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Corporate management
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Le vote est annoncé comme une simple formalité. Ce lundi 4 janvier 2021, les actionnaires de Fiat et de Peugeot doivent valider le fruit d’âpres négociations. « L’union des groupes français PSA et italo-américain FCA, validée par l’UE, doit donner naissance au quatrième groupe automobile mondial en termes de véhicules vendus, et au troisième en chiffre d’affaires derrière le japonais Toyota et l’allemand Volkswagen. La nouvelle entité, baptisée Stellantis, comptera plus de 400 000 salariés et abritera dans le même garage 14 marques emblématiques comme Citroën et Maserati (déjà brièvement mariées il y a 50 ans), Fiat et Opel, Peugeot et Alfa Romeo, Chrysler, Dodge ou Jeep » explique Ouest France.
Présentée comme une démarche de survie dans un secteur très concurrentiel, les chiffres donnent raison aux deux groupes qui souhaitaient peser plus et être incontournables. Reste maintenant à observer l’habileté stratégique des dirigeants pour faire de cette fusion l’opportunité de gagner en compétitivité par d’importantes synergies. « Pas de grand suspense en France ce lundi : les actionnaires de PSA ont déjà voté en juin 2020 à plus de 99 % en faveur de quatre résolutions marquant leur soutien au mariage de la Fiat 500 et de la Peugeot 208. Mais leur vote scellera cette union envisagée depuis 2018, annoncée fin 2019, et dont la préparation a été ralentie par la crise du coronavirus. Fin décembre, la Commission européenne a donné son feu vert à l’union, sous condition que les deux groupes respectent leurs engagements pris pour préserver la concurrence dans les petits utilitaires, où ils détiennent de larges parts de marché. Les constructeurs avaient auparavant amendé leur contrat pour que leur union reste un mariage entre égaux, alors que la pandémie a affecté leurs comptes respectifs » ajoute le quotidien régional. Côté Peugeot, les observateurs sont moins enthousiastes que leurs nouveaux alliés tant Fiat rencontre des problèmes financiers depuis un moment alors que PSA a enchainé les bons résultats.
Présentée comme une démarche de survie dans un secteur très concurrentiel, les chiffres donnent raison aux deux groupes qui souhaitaient peser plus et être incontournables. Reste maintenant à observer l’habileté stratégique des dirigeants pour faire de cette fusion l’opportunité de gagner en compétitivité par d’importantes synergies. « Pas de grand suspense en France ce lundi : les actionnaires de PSA ont déjà voté en juin 2020 à plus de 99 % en faveur de quatre résolutions marquant leur soutien au mariage de la Fiat 500 et de la Peugeot 208. Mais leur vote scellera cette union envisagée depuis 2018, annoncée fin 2019, et dont la préparation a été ralentie par la crise du coronavirus. Fin décembre, la Commission européenne a donné son feu vert à l’union, sous condition que les deux groupes respectent leurs engagements pris pour préserver la concurrence dans les petits utilitaires, où ils détiennent de larges parts de marché. Les constructeurs avaient auparavant amendé leur contrat pour que leur union reste un mariage entre égaux, alors que la pandémie a affecté leurs comptes respectifs » ajoute le quotidien régional. Côté Peugeot, les observateurs sont moins enthousiastes que leurs nouveaux alliés tant Fiat rencontre des problèmes financiers depuis un moment alors que PSA a enchainé les bons résultats.
